Reiki & Science Database | Clinical Research

Year:	2021
Type:	Review / Meta-analysis
Topic:	Healing - Distance / Intention
Category:	Biofield / Energy medicine
Subcategory:	nonlocality; consciousness; intention; healing
Publication language:
Title:	Perspectives, Measurability and Effects of Non-Contact Biofield-Based Practices: A Narrative Review of Quantitative Research
Authors:	Luís Carlos Matos; Jorge Pereira Machado; Fernando Jorge Monteiro; Henry Johannes Greten
Location:	Portugal - Universidade do Porto, Porto; Atlântico Business School, Vila Nova de Gaia; Universidade Fernando Pessoa, Porto ; Germany - German Society of Traditional Chinese Medicine, Heidelberg, Germany
Reference:	Matos LC, Machado JP, Monteiro FJ, Greten HJ. Perspectives, Measurability and Effects of Non-Contact Biofield-Based Practices: A Narrative Review of Quantitative Research. International Journal of Environmental Research and Public Health. 2021; 18(12):6397. https://doi.org/10.3390/ijerph18126397
Abstract:	Practices such as “Reiki”, therapeutic touch, healing touch, and external “Qigong” have been regarded as some form of “energy medicine” or “biofield therapy”. The biofield concept has been studied and debated by researchers of distinct areas of expertise, and although the phenomenon was sometimes described as physically related to electromagnetics, other factors such as “subtle energy” and focused intention might be involved. These nonconventional practices integrate contact and non-contact techniques, and those dealing with so-called distant healing interventions are perhaps the most difficult to understand and accept. Practitioners describe these so-called nonlocal interventions as involving intentional factors and particular states of consciousness. With a spiritual mindset and a particular state of awareness, compassion is said to work out as a catalyst to produce physiological and physical changes through mechanisms that are still unknown. At the body level, these vegetative changes might be related to individual self-perception variations as part of the body neurovegetative feedback system of regulation. Further mechanisms are difficult to document and measure, and might be more accessible to research by using physical signal detectors, chemical dynamics methods, detectors using biological materials, detectors using living sensors, and detectors using the human body. The growing interest in these practices and the considerable amount of research exploring their effects and clinical applications encouraged this narrative review, which aims to provide an easy to consult partial overview of the history, theory and findings of quantitative research strategies exploring non-contact biofield-based practices. This work also aims to stimulate the reader’s mind with the raised hypotheses, catalyzing further research on the subject to confirm or deny the reported outcomes. Conclusion: The human biofield is a challenging concept that is not fully compatible with the dominant biomedical paradigm. The mechanisms behind this phenomenon are still unclear or unknown. However, some experimental results and clinical applications support rather than deny its existence, thus justifying further studies about its nature and action mechanism. Nevertheless, there is still some stigma related to this subject and much anecdotal evidence lacking scientific methodology, contributing to some resistance to accepting this concept into mainstream scientific research.
Résumé :	Des pratiques telles que le "Reiki", le toucher thérapeutique, le toucher de guérison et le "Qigong" externe ont été considérées comme une forme de "médecine énergétique" ou de "thérapie du biochamp". Le concept de biochamp a été étudié et débattu par des chercheurs de différents domaines d'expertise, et bien que le phénomène ait parfois été décrit comme étant physiquement lié à l'électromagnétisme, d'autres facteurs tels que l'"énergie subtile" et l'intention ciblée pourraient être impliqués. Ces pratiques non conventionnelles intègrent des techniques de contact et de non-contact, et celles qui concernent les interventions dites de guérison à distance sont peut-être les plus difficiles à comprendre et à accepter. Les praticiens décrivent ces interventions dites non locales comme impliquant des facteurs intentionnels et des états de conscience particuliers. Avec un état d'esprit spirituel et un état de conscience particulier, la compassion agirait comme un catalyseur pour produire des changements physiologiques et physiques par des mécanismes encore inconnus. Au niveau du corps, ces changements végétatifs pourraient être liés à des variations de la perception individuelle de soi dans le cadre du système de régulation neurovégétative du corps. D'autres mécanismes sont difficiles à documenter et à mesurer, et pourraient être plus accessibles à la recherche en utilisant des détecteurs de signaux physiques, des méthodes de dynamique chimique, des détecteurs utilisant des matériaux biologiques, des détecteurs utilisant des capteurs vivants et des détecteurs utilisant le corps humain. L'intérêt croissant pour ces pratiques et le nombre considérable de recherches explorant leurs effets et leurs applications cliniques ont encouragé cette revue narrative, qui vise à fournir une vue d'ensemble partielle et facile à consulter de l'histoire, de la théorie et des résultats des stratégies de recherche quantitative explorant les pratiques sans contact basées sur le biochamp. Ce travail vise également à stimuler l'esprit du lecteur avec les hypothèses soulevées, catalysant des recherches supplémentaires sur le sujet afin de confirmer ou d'infirmer les résultats rapportés. Conclusion : Le biochamp humain est un concept difficile qui n'est pas entièrement compatible avec le paradigme biomédical dominant. Les mécanismes à l'origine de ce phénomène sont encore peu clairs ou inconnus. Toutefois, certains résultats expérimentaux et applications cliniques confirment son existence plutôt que de la nier, ce qui justifie des études supplémentaires sur sa nature et son mécanisme d'action. Néanmoins, il existe encore une certaine stigmatisation liée à ce sujet et de nombreuses preuves anecdotiques manquant de méthodologie scientifique, ce qui contribue à une certaine résistance à l'acceptation de ce concept dans la recherche scientifique dominante.
Link:	https://www.mdpi.com/1660-4601/18/12/6397/htm